Restauration après sinistre

La projection de glace carbonique  est devenue la méthode privilégiée pour la suppression de suie de fumée, de résines synthétiques gazéifiées et de résidus de charbon. Les systèmes sont même connus pour réduire, voire éliminer les odeurs de brûlé et de moisi occasionnées par les dommages dus au feu, à la fumée et à l’eau.

La projection de glace carbonique permet une élimination rapide et efficace les dommages dus à la fumée, même dans les angles fermés des poutres, autour des clous, des câbles et de la plomberie, sans danger pour l’intégrité de la surface nettoyée.

Un incendie peut provoquer des dommages dus à la suie, à la fumée et à la carbonisation sur le bois, la brique, le béton et le métal. Ce type de dommage est inesthétique et dégage des odeurs désagréables. Les méthodes traditionnelles pour y remédier sont le sablage, le grattage et le décapage à la brosse métallique. Avec le Dioxyde de Carbone, ce procédé long et fastidieux peut être évité.

Avec les méthodes traditionnelles, trois à six techniciens peuvent achever un projet de restauration après incendie en 5 ou 6 jours. Les solutions de projection de glace carbonique permettent à deux techniciens d’effectuer le même travail en deux jours. Les coûts de déplacement des résidents sinistrés sont plus bas, avec des coûts de main d’œuvre moins élevés.

Le processus de projection de glace carbonique de peut éliminer ou réduire de façon significative les odeurs qu’un incendie laisse derrière lui. En général, 24 heures après le nettoyage cryogénique, l’odeur n’est plus détectable. Cela signifie que l’utilisation de l’encapsulage pendant la restauration après incendie est sensiblement réduite. Le nettoyage cryogénique fournit une propreté que les autres méthodes ne peuvent tout simplement pas atteindre.

En outre, le procédé ne génère pas de flux de déchets secondaires. Donc, une fois le nettoyage terminé, il est inutile de revenir pour nettoyer le désordre qu’occasionnerait la projection de bicarbonate de soude, d’eau ou de sable.